Musicographie

Jack Stark : Parcours d'un compositeur aux influences cinématiques

Né à Genève en 1987, Jack Stark découvre très tôt le langage universel de la musique.
Dès l'âge de 4 ans, il joue "d'oreille" sur un petit clavier Casio des mélodies populaires. Cette relation organique avec l'instrument préfigure une carrière marquée par une sensibilité et une émotion fines et pures.

Formation : L'exigence au service de la sensibilité

Son apprentissage formel de l'instrument débute en 1993 sous la guidance de Mary-Claude Huguenin, avant d'entreprendre en plus un parcours théorique au CPMG. Entre solfège avec Jacqueline Bruyère, improvisation jazz avec Erich Lauert, et maîtrise technique des grands compositeurs (Chopin, Mozart, Liszt, Beethoven), Jack se forge un profil artistique complet.
Son diplôme de solfège terminal en 2007 couronne cette quête d'excellence.

Création : Quand la musique devient paysage émotionnel

Dès 2000, ses compositions révèlent une signature unique où se mêlent influences classiques, électroniques et cinématiques. Son premier album Nico Inventions, initialement conçu à des fins d'archives personnelles, a séduit par ses reprises visionnaires (Vangelis, James Horner) et ses œuvres originales imprégnées de l'imaginaire d'Eric Lévi.

Artiste protéiforme, Jack Stark ne cesse de repousser les frontières génériques :

Moments clés

Parmi les jalons de son parcours :

Philosophie artistique

Héritier des grands compositeurs de bandes originales, Jack Stark conçoit la musique comme un vecteur d'émotions pures. Chaque composition cherche à créer une synesthésie, transformant les notes en images mentales. Son Ĺ“uvre, à la croisée de la tradition classique et des innovations électroniques, continue d'évoluer vers de nouveaux horizons sonores :
Jack Stark : "Mon ambition est que chaque écoute devienne un voyage intime, une expérience sensorielle qui transcende le simple moment musical."